Une publicité pour un gîte BDSM avait attiré mon attention. Elle indiquait clairement que tous les fétichismes étaient acceptés et qu’il était possible de déambuler sur la propriété dans n’importe quelle tenue.

Le fait de pouvoir vivre mes passions de soumis en plein air et sans risque d’être vu et arrêté par la police m’excitait énormément.

Les photos des instruments BDSM mis gracieusement à la disposition des clients mettait le feu aux poudres de ma libido. Le lit BDSM me faisait craquer, la balançoire pour adulte avec toutes les variables possibles me faisait fondre. L’accessoire appelé « le cheval qui rend fou » m’avait carrément fait jouir en quelques caresses rien qu’en m’imaginant attaché dessus.

A cela se rajoutait le lieu paradisiaque pour un parisien comme moi, des arbres, du gazon, une piscine où le naturisme était autorisé. Je me voyais habillé en femme en train de bronzer au bord de la piscine ou déambuler sur la propriété vêtu comme une petite fille avec une grosse couche aux fesses.

Dans mes fantasmes, une Maîtresse imaginaire me conduisait au banc à fessée où elle m’attachait pour me tanner les fesses avant de les offrir à son amant bisexuel ravi de me sodomiser. Je me voyais entravé sous la chaise facesitting où elle venait se faire lécher pendant des heures, je me voyais..... Autant dire que toutes les photos des accessoires me rendaient fou.

Le gros bémol, est que je suis célibataire et que personne n’avait envie de venir en vacances avec moi pour me martyriser au gîte BDSM.

J’ai donc contacté les responsables du gîte paradisiaque pour leur demander si, d’après eux, une personne seule pouvait s’amuser. Ou, si ils avait imaginé l’idée de proposer une colocation.... La réponse n’a pas tardé.

Monsieur,

Merci de votre intérêt pour notre gîte. Vous trouverez ci-dessous la réponse à vos questions.

Il est évident que si vous êtes seul, vous serez limité pour certaines pratiques. Toutefois, vous pourrez réaliser sur la propriété et au grand air, tout ce que vous faites chez vous dans votre chambre ou appartement.

A cela se rajoute que le gîte peut vous proposer quelques activités (à réaliser seul) mais également être la personne de confiance si vous réalisez des selfbondages ou des jeux d’auto servitude. Si besoin, nous vous conseillons d’aller lire les scénarios de selfbondage, les tutos et idées de jeux du site https://selfbondage.fr/

Nous ne proposons pas de colocation pour la simple et bonne raison, que nous ne pouvons pas maîtriser les affinités qu’il peut y avoir entre les clients. Vous pouvez évidement proposer à une ou deux personnes de venir en même temps que vous si vous le désirez mais, c’est vous et vous seul qui ferez la réservation et la location.

N’hésitez pas à revenir vers nous si vous avez d’autres questions, et surtout, ne vous sentez pas gêné, cela fait 40 ans que nous sommes dans le monde des rencontres fétichistes. Nos sites ci-dessous sauront vous convaincre que vous pouvez nous parler librement.

Cordialement

Webmaster

BOUTIQUE www.ABCplaisir.com

RESEAU DE RENCONTRES www.Fessestivites.com

SITE ET FORUM ABDL https://abkingdom.com/

SITE D'HISTOIRES EROTIQUES HARD http://plaisirs-interdits.com/

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Deux heures après avoir lu leur réponse, et surtout, avoir fait une visite éclair sur leurs sites, j’étais effectivement convaincu qu’il ne devait pas y avoir grand chose qui puisse les gêner. J’ai donc décidé de réserver un week-end au gîte.

Après de longues heures de route, à mon arrivée le vendredi vers 17 heures j’ai cru halluciner. Le mec tout souriant qui m’a ouvert le portail était en short et en vélo et derrière lui un simple chemin en terre battue. Aucune bâtisse n’était visible. J’ai donc suivi le cycliste pendant deux minutes avant d’arriver sur les lieux. Il m’a proposé de me servir une collation de bienvenue avant de décharger mes bagages. En me voyant fermer ma voiture à clé il a rigolé.

• Vous pouvez la laisser ouverte, ici vous n’êtes pas à Paris. Décontractez-vous, vous êtes en vacances.

Tout sourire derrière son mini bar, il m’a proposé de prendre un bon verre de rosé bien frais. Et là, il a débouché une bouteille pour me servir, puis il me l’a tendue en me disant « c’est un petit cadeau de bienvenue, vous pouvez la garder ». Là, cela me changeait des brasseries parisiennes ! On ne t’offre pas un verre, on t’offre la bouteille !

Entre la fatigue et les verres de rosé se buvant comme du petit lait, j’étais nettement moins coincé et pudique. Je me suis donc un peu dévoilé en lui disant que j’aimais la féminisation, le BDSM et que l’ABDL me titillait beaucoup. Sa réponse a terminé de me décontracter ....

• Je vous propose que nous allions décharger vos valises et que vous preniez une bonne douche pour vous remettre des heures de route. Vous pourriez ensuite aller piquer une tête dans la piscine, cela vous fera du bien, puis, si l’idée vous plait, vous faire belle pour le dîner. Ce ne sont évidement que des propositions, ici vous êtes libre de vivre vos passions. Le dîner est à 21 heures, je vous accompagne à votre gîte ?

La chambre dans laquelle nous avons posé mes valises, m’a immédiatement troublé et a généré une réaction dans mon caleçon, si vous voyez ce que je veux dire. Le lit à baldaquin me tendait ses bras de pervers ! Traduction, les bracelets et chaînes me faisaient déjà de l’oeil.

Vers 18h30, je suis allé effectivement piquer une tête dans la piscine dont l’eau était à 27 degrés. Le boss est arrivé en maillot et avec une serviette pour se baigner. Il m’a rappelé que le naturisme était autorisé et que si il avait mis un maillot, c’était pour ne pas me gêner. Et là cash, il m’a branché comme si le sujet de sa conversation, était le plus conventionnel du monde.

• J’ai quelques questions à vous poser. Si cela vous gêne, arrêtez-moi mais mon but est de rendre votre séjour le plus agréable possible. Sommes nous d’accord ?

• Oui, oui, allez-y !

• Alors qu’allez-vous mettre ce soir comme tenue ? Désirez-vous faire un selfbondage et que je vous donne ce dont vous avez besoin, par exemple, un ice-timer. Désirez-vous que je mette en place un jeu de piste en allant cacher les clés de votre culotte à cadenas dans le terrain ? Désirez-vous que je vous foute une paix royale et ne vienne plus vous proposer des divertissements ? Vous savez ici, on dit les choses clairement sans détour, alors n’hésitez pas à nous dire ce que vous désirez.

En étant aussi rouge qu’une tomate, je lui ai demandé si il acceptait de m’aider pour mettre en place un selfbondage et de me fournir un ice-timer. Il m’a demandé de quelle durée le ice-timer avant de me préciser qu’il l’installerait mais ne me ferait pas mon bondage.

Pour le dîner, j’ai osé m’habiller en femme. J’avais mis mes faux seins, un soutien-gorge, un chemiser et une jupe mi-cuisses. Je tremblais comme un parkinsonien en arrivant sur la terrasse, car c’était la première fois que quelqu’un allait me voir en femme. Cela ne leur a fait ni chaud ni froid. Je serais arrivé habillé en tenue de sport cela aurait été pareil !

Pendant le repas, réalisé avec une grande partie des produits du jardin, nous avons parlé de fétichisme, du monde des rencontres. Sa femme est sa soumise, mais quand on voit la complicité qui est la leur, il n’y a pas que le BDSM qui les a rapproché, l’Amour avec un grand A est palpable. A la fin du repas, monsieur avait décidé de s’amuser. Il lui a dit qu’elle était très vilaine et lui a donné une petite fessée déculottée devant moi. C’était la première fois que j’en voyais une autrement qu’en vidéo. Cela met de suite dans l’ambiance et j’avoue que j’aurai bien aimé être à sa place.....

Vers 23 heures, le Maître des lieux a mis en terme à la soirée en me disant qu’il allait chercher des menottes et un ice-timer de quatre heures comme demandé. Lorsqu’il est arrivé au gîte, j’étais très gêné, contrairement à lui pour qui c’était naturel. Il m’a précisé qu’il ne fallait pas que je ferme le gîte à clé car, si vers 10 heures il ne m’avait pas vu, il viendrait voir si j’étais parvenu à me libérer. Si cela est très sécurisant, cela pousse à faire des folies....

Comme il a senti que je ne suis pas un expert en selfbondage, il a décidé de suspendre le ice-timer et donc les clés à une poutre.

• Je vous l’installe ici. Lorsque la glace fondra, elle libérera les clés que j’ai attachées à une ficelle de sécurité. La ficelle a pour objectif de vous empêcher de l’envoyer sous le lit par exemple. Rassurez-vous, j’ai des doubles et de quoi couper si une serrure était cassée. Par contre, soyez prudent, rien qui puisse se serrer autour du cou et pas de bâillon qui ne permette pas de vomir par exemple. Avez-vous une question ?

Je lui ai avoué que je n’avais pas vraiment d’idées pour ce selfbondage. Des idées lui il n’en manque pas, et même des très sadiques ! Il m’a proposé comme scénario de me faire un hogteil dans le salon du gîte et de ramper jusqu’à la chambre pour récupérer les clés quand le ice-timer me les rendrait. Il m’a fait voir des poids posés sur une étagère en me disant que je pouvais éventuellement les accrocher à mes précieuses histoire de rendre le trajet plus amusant. Il m’a dit que si j’étais maso des tétons, il pourrait aussi être amusant d’accrocher mes pinces à sein aux pieds de la table basse par une ficelle. Après quelques suggestions toutes autant perverses, il m’a souhaité une bonne soirée.

J’ai conservé l’idée de hogteil dans le salon mais sans attacher les pinces à sein à la table. L’idée de les arracher comme ça me faisait peur. C’est donc en couche et culotte plastique puis avec mon gros plug dans les fesses que je me suis attaché sur le ventre. Quitte à faire des folies, et surtout puisque j’étais sécurisé, juste avant de fermer les menottes mains dans le dos, j’ai enfilé ma cagoule d’isolation BDSM.

Mettre cette cagoule était une vraie bonne mauvaise idée en même temps. En effet, l’idée était bonne car elle a rendu le trajet du reptile plus compliqué. C’était aussi une mauvaise idée car elle l’a rendu TRÈS compliqué dans des lieux que je ne connaissais pas vraiment. Malgré la clim qui était réglée sur 24 degrés, j’ai eu très, très chaud. J’ai finalement mis plus de quatre heures pour arriver aux clés qui étaient tombées sur le carrelage comme prévu.

Lorsque je suis parvenu à ouvrir les menottes, j’étais tellement épuisé que je suis resté allongé un moment sur le sol où je me suis endormi. Ce n’est qu’au milieu de la nuit que j’ai fini de me libérer pour me coucher dans ce fameux lit. J’avoue que si j’ai galéré un max, je me suis aussi « éclaté ». J’ai beaucoup fantasmé en imaginant que c’était sa femme qui venait me libérer et m’obligeait à lui lécher les pieds en échange de ma libération.

Lorsque vers 10 heures j’ai ouvert la porte du gîte, sur la table de la terrasse il y avait un plateau avec un thermos de café, un de lait et de quoi déjeuner. Le Maître des lieux tout crotté revenait des champs avec un panier de légumes. Après quelques échanges, je lui ai proposé un café. Cela nous a permis de discuter un peu et c’est là, qu’il m’a proposé un jeu pervers.

• Je vous conseille d’aller maintenant faire quelques courses si vous en avez à faire car ici, les commerçants ferment à 13 heures. Désirez-vous que je vous mette en place un jeu de piste fétichiste ou sur le principe du ''Bondage Walking'' avec ou SANS bondage.? Le jeu ne pourra se faire qu’en fin d’après-midi à cause de la chaleur et durera peut-être même la soirée..... !

Ne connaissant pas, il m’a expliqué que le Bondage Walking consiste à réaliser des parcours, la nuit en étant pieds et poings liés ! Cette pratique se réalise complètement nu(e) ou avec des tenues ultra fétichistes ne laissant aucun doute sur l’érotisme de la ballade. J’ai eu la mauvaise idée de lui dire « carte blanche ».

• Carte blanche non, je vous propose quelque chose. Vous validez l’idée ou pas car, je ne veux pas être tenu pour responsable si vous vous faites mal.

J’ai validé sa proposition. Si cela fut très excitant, cela fut quand même un peu dur mais, comme il le dit souvent, on ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre et les fesses de la crémière.

Je vous raconte la suite demain mais c’est très pervers.

A SUIVRE ICI

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